mercredi 9 novembre 2011

SPORT, JEUNESSE, VIE CULTURELLE

Effectivement, voici déjà trois ans que cette nouvelle mandature est commencée. Je vous propose un petit bilan illustré par quelques exemples :
Seul représentant de l’opposition municipale au sein de deux commissions, « Sports et jeunesse » et « Vie culturelle et événementielle », je me suis attelé à être constructif et à apporter ma contribution dans les différentes réunions auxquelles j’ai pu participer.
Les thèmes sur lesquels nous sommes appelé à débattre, sont d’importances variables :
En « Sport » par exemple, la réfection des vestiaires des salles C et D est un dossier hérité de la précédente équipe municipale. Jugée prioritaire à l’unanimité, sa mise en oeuvre a été repoussée de plusieurs mois pour cause d’inflation de la facture finale, à l’instar d’autres dossiers «gérés» sur Sautron : c’est devenu une chose assez courante sur la commune ces derniers temps. La réalisation du terrain de foot synthétique, quant à lui, est reporté à la dernière année du mandat !
Une autre réunion nous proposait l’étude de l’aménagement de la cour de l’espace Jeunes, sur la base de plans établis avec la collaboration des utilisateurs. Tous les membres présents souhaitaient l’amender sur deux points : le premier, sécuritaire, demandait la révision des tables et bancs aux angles vifs dans un lieu où les enfants jouent au football. Le second, de santé, portait sur la présence discutable d’une «poubelle cendrier». Quel ne fût pas mon étonnement, le mercredi suivant, de voir le chantier lancé, sans prendre en compte nos recommandations !
Mais il est parfois impossible d’être présent aux réunions: En 2010, pour l’attribution des subventions, deux élus ont reçu la convocation, par courrier, le surlendemain de sa tenue ...
Tout n’est cependant pas négatif : la décision, unanime, de surseoir à la réfection du sol de la salle B, après que les travaux de réfection des parois intérieures aient été effectués, a été suivi d’effet.
Dans la deuxième commission, certains rendez-vous annuels sont bien établis : « Fête de la Musique », 14 juillet, « Téléthon » où l’appel aux bénévoles est fort. Deux autres organisations, « Sautron expose ses artistes » et « Impressions d’Arts » dans les domaines de la peinture et de la sculpture, sont néanmoins à la limite de la «saturation». C’est très bien. Peut-être qu’un jour, Sautron aura la même renommée que Barbizon ou Pont-Aven ...
Mais le manque cruel d’une salle de spectacle adéquate empêche de développer une véritable programmation culturelle sur notre commune, malgré des initiatives individuelles et intéressantes telle que celles de l’association « Paroles et Musiques… ». A ce titre, tous les membres de la commission étaient unanimes pour déconseiller le réaménagement de la salle Espace Phelippes Beaulieux, car les dossiers précédemment traités en réhabilitation (tels que celui de la salle de sport B), se révélaient être des gouffres financiers. Et pourtant, lors des dernières réunions, l’adjointe en charge du dossier nous a fait comprendre que nous allions vers une solution privilégiant les travaux sur l’existant. Comme quoi : « Chat échaudé… ».
Je terminerai ce texte de «mi-bilan» par une dernière constatation, laquelle tend à se systématiser : les calendriers des commissions doivent tenir compte des indisponibilités de leurs membres, qui les indiquent à l’avance. Il est remarquable de constater que les dates finalement retenues se synchronisent malheureusement sur mes jours d’absences. Sachant que les élus d’opposition ne peuvent se suppléer dans les commissions qu’en cas de maladie ou évènement grave, la représentation des 40 % de sautronnais qui nous ont fait confiance n’est donc pas assurée. Bel exemple de démocratie ...

Gérard VRIGNON

ECOLES, PETITE ENFANCE, ANCIENS

Grâce aux élus de l’opposition, les dérogations d’enfants d’autres communes sont dorénavant autorisées, depuis l’année scolaire précédente et sous conditions légales, vers les écoles publiques sautronnaises.
Grâce aux élus de l’opposition, les élèves porteurs de handicap de toutes communes, scolarisés en classe pour l’inclusion scolaire (CLIS) sont accueillis à Sautron avec des conditions tarifaires sautronnaises, selon leur quotient familial. Car le manque de structure les oblige à venir dans notre commune.
Le repas de Noël des anciens est toujours financé sur le budget du CCAS. Ce repas festif est bien apprécié des sautronnais, et permet aux plus isolés un moment de convivialité. Mais si le coût de ce repas était intégré au budget de la ville, cela permettrait de dédier en totalité le budget du CCAS aux situations financières les plus délicates, et aux sautronnais les moins aisés de loger sur la commune, pour plus de mixité sociale.
Sur un autre plan, les écoles continuent de se dépeupler, notamment en maternelle. En effet, pour pouvoir demeurer sur la commune, les familles doivent avoir connu une certaine ascension professionnelle, au regard du coût de l’immobilier. Par conséquent, les élèves qui arrivent sont maintenant au mieux des enfants d’âge du primaire, voire davantage. La politique en matière d’urbanisme doit permettre un accueil pour les jeunes couples et leurs futurs bébés.
A coté de cela, l’immobilier prospère mais les services suivent-ils : accueil du mercredi, espaces et offres sportives, espaces et offres culturelles? Concernant la petite enfance, nous n’avons aucune communication sur l’évolution du dossier portant sur la création de la crèche, localisée dans la maison de retraite.
Enfin, le dynamisme de la commune passe par ses associations et tous les bénévoles qui y œuvrent pour les loisirs, la culture, les sports pratiqués par les sautronnais. A ce titre, nous regrettons vivement la disparition d’Entraide Sautron. Nous avions, dans le cadre de notre programme, souhaité la mise en place d’une maison municipale des associations, avec pour but de faciliter toutes les démarches : prêt de salle, stockage, rémunération, communication, information… Pour l’instant tout reste à créer. Les signalétiques des écoles et espaces dévolus aux enfants, sont encore pour partie à matérialiser.
Un autre objectif reste à atteindre : créer une restauration scolaire adaptée à l’augmentation de la fréquentation des élèves qui y déjeunent le midi, même à effectif scolaire constant. Favoriser des conditions d’accueils plus calmes et détendues, pour une vraie pause repas. Enfants et enseignants en bénéficieraient, pour un après-midi de plus grande concentration, apte aux apprentissages.
Dans un tout autre domaine, est-ce que les sautronnais connaissent le CLIC (Centre Local d’Information et de Coordination) et sont-ils informés de ce qu’il réalise pour les personnes âgées sautronnaises ?
Nous avons encore beaucoup de travail, et l’assurons avec beaucoup de vigueur. Nous le ferons toujours, d’autant que nous sommes portés par de plus en plus de mécontents du système de fonctionnement actuel.
Nous remercions les sautronnais qui nous font confiance.
Sylvie DEMANGEAT-LECONTE

CULTURE & DEVELOPPEMENT

A mi-mandat, les enjeux Sautronnais d’aujourd’hui démontrent la justesse de nos positions lors des dernières élections municipales. Le dynamisme de la métropole Nantaise met en évidence la nécessité, pour Sautron, d’évaluer jour après jour les besoins de son développement.
Nous avions à notre programme la construction de la maison de retraite, intégrée dans un espace intergénérationnel. Nous apprécions que cet espace voie aujourd’hui le jour. Ce n’est pas pour autant qu’il faut négliger les enjeux sociaux du secteur de la carrosserie.
Très tôt, nous avons alerté la municipalité sur le risque de transformer la rue de Bretagne en véritable «couloir», dont la forme ne correspondrait pas à l’image qu’on peut se faire de Sautron.
Très tôt aussi, nous avons alerté la municipalité sur la nécessité de construire des logements sociaux pour aider au rajeunissement de la population de Sautron. Nous avons aussi soutenu la nécessaire densification du centre ville. Mais en ce qui concerne l’urbanisme et l’aménagement
du centre, nous n’hésitons pas à dire que la pression foncière a pris le dessus. Il ne s’agit pas de pénaliser les propriétaires fonciers, mais de développer Sautron pour créer, à l’avenir, une envie toujours plus grande de venir y vivre. La ville se doit aussi de reconstituer son domaine
foncier pour assurer son développement. Concernant la construction des halles, j’ai personnellement adhéré à leur style moderne. Nous avons, cependant, tous regretté le doublement de l’enveloppe financière initiale.
De même, une analyse de valeur sur l’ensemble de l’opération du parking de la mairie, aurait permis de réduire le coût de chaque place sans inclure le rachat des maisons (prix de revient : 25 000 euros la place !!). Nous demandons, sans résultat, une concertation systématique avec les élus de l’opposition sur la réalisation du budget de la commune : c’est le rôle de la commission finance et cela permettrait d’éviter bien des mauvaises surprises.
Nous avions proposé aux Sautronnais un projet culturel ambitieux, prévoyant la création d’une salle de spectacles, d’adjoindre un espace multimédia à la bibliothèque, avec des espaces thématiques faisant appel aux moyens du numérique. Nous avions aussi proposé de mettre en place des structures communales pour le sport et la culture. Un bureau communal des associations aurait vu le jour, pour relayer leurs demandes.
Certes une réflexion est engagée pour l’évolution de l’espace Phelippes Beaulieu. Nous y participons activement. Mais le projet culturel n’a pas été préalablement défini. La modernisation de la proposition culturelle à Sautron sera donc ralentie. Nous regrettons que la municipalité ne prenne pas en ce domaine, comme dans bien d’autres, des chemins
nouveaux autorisés par l’évolution des technologies et des comportements.
Au total, nous pensons que les propositions que nous avons portées lors des dernières élections municipales ont été utiles pour notre ville et restent d’actualité. Mais le temps passant, de nouveaux enjeux apparaissent. Ce n’est toutefois pas pour autant que la route est dégagée. Nous devons réfléchir à notre lieu de vie commun et faire preuve d’imagination et d’ambition.
Gérard RUSSEIL

ENVIRONNEMENT

La sauvegarde de l’environnement devrait être une préoccupation de tous les instants. Avec la somme de 50.000 euros allouée en 2009, seul un diagnostic énergétique a été possible, sur cinq bâtiments municipaux.
Mais les préconisations de travaux (isolations, utilisation d’énergies renouvelables [panneaux solaires], récupération d’eaux pluviales …) n’ont, pour le moment, abouti qu’au remplacement des ampoules pour l’éclairage desdits bâtiments, pour un coût de 30.000 euros ...
Avec le triplement de ce budget pour 2011, la commune aurait enfin pu donner un signe fort en s’équipant de capteurs photovoltaïques sur un bâtiment municipal comme, par exemple, la toiture sud de la salle de la vallée. Mais le conseil municipal a préféré décliner la proposition faite par son adjoint à l’environnement et voter un budget « développement durable » de... 20.000 euros, au lieu des 150.000 préconisés. Dommage !
Nous sommes donc encore très loin des réalisations pourtant nécessaires, telles qu’une véritable plate-forme de traitement des déchets verts sur Sautron, la mise en place de composteurs individuels, la mise aux normes progressive des bâtiments communaux selon les critères HQE.
Notre commune n’a, à ce jour, pas fait le choix de prioriser une démarche volontaire de management de la qualité environnementale des opérations de réhabilitation de bâtiments.
C’est pourquoi nous vous invitons à peser de tout votre poids dans le débat promis par la mairie, avec l’agenda 21 qui s’installe enfin sur Sautron. Au-delà de la belle couverture apposée dans le bulletin municipal d’avril 2011, ce sont des actes qui sont attendus.
Les deux stagiaires engagés à ce titre font un travail remarquable. Espérons que ces études seront accompagnées d’une volonté politique toute neuve, pour que l’équipe dirigeante montre, à son niveau de responsabilité, qu’il est aussi possible de s’intéresser aux problématiques majeures de sauvegarde de notre planète. Sans tout décaler à fin 2012, voire 2013, à quelques mois de la prochaine échéance électorale municipale ...
Mireille GALLANT

Spécial «MI-MANDAT»

Nous avons décidé, mes collègues de la liste « Sautron ensemble et autrement » et moi-même, de vous adresser personnellement ce document qui est d’abord un bilan des trois premières années du mandat, mais aussi un outil de propositions et de réflexions sur le futur de notre commune.
Madame La Maire et son équipe ont un fonctionnement très autocratique. Les décisions sont souvent prises dans l’urgence sans véritable cohérence, sans perspective et sans concertation. Cela génère pour les services municipaux de la fatigue, du stress et un manque total de lisibilité sur les orientations. C’est cette équipe qui nous avait annoncé, pendant la dernière campagne, une vraie rupture avec le « système BRETECHER ». En fait, ce sont les mêmes méthodes avec, toutefois en plus, un amateurisme très préoccupant.

Le travail d’un élu n’est pas de s’occuper du quotidien dans le moindre détail. Il a, pour cela, les services de la commune qui le font très bien. Son rôle avant tout, est de prendre de la hauteur, donner un cap et une cohérence à l’action publique.

Le reproche constant qui est largement partagé, c’est le manque de transparence dans le suivi des déclarations et la prise de décisions. Quelques exemples :
  • A quoi bon s’afficher « sans étiquette » pendant la campagne et immédiatement après rejoindre le groupe de droite à Nantes Métropole. Soit c’est une tromperie vis à vis des électeurs, soit c’est un manque de courage politique, chacun jugera !
  • L’EPHAD, projet que nous soutenons pour l’avoir nous même proposé. La nomination du gestionnaire a été décidée sans concertation auprès du conseil municipal. L’évolution du dossier n’est communiquée dans aucune instance : ni celle du CCAS, ni celle de la commission vie-famille.
  • Les travaux en commission : il n’est tenu aucun compte des avis souvent unanimes des membres siégeant dans les différentes commissions. Seule une équipe très restreinte décide. Ce n’est plus de la démocratie, cela s’appelle de l’oligarchie.
Il manque à Sautron un véritable projet, des perspectives, de l’ambition. Notre commune comptera dans les prochaines années quelques 10 000 habitants. Comment organiser à ce niveau les services sociaux, les transports, l’école, le développement durable, les sports, la culture, etc ?

Nous voyons beaucoup de constructions neuves à Sautron, la spéculation immobilière bat son plein. Le taux de logement sociaux stagne toujours aux alentours de 8.5% quand la loi nous impose 20%. Nombre d’étudiants, de jeunes ménages n’arrivent plus à se loger dans ces conditions. Ou est, là encore, la solidarité ? Quand nous pouvons imposer 50% de logements sociaux aux promoteurs, Madame la Maire s’y oppose vigoureusement sous le prétexte de ne pas déranger la quiétude des sautronnais. Quand allons-nous respecter la loi, respecter les nouvelles générations, nos enfants, et enfin leur tendre la main ?
C’est un constat d’échec que nous dressons à ce jour, un amateurisme coupable, un clientélisme toujours d’actualité. Sautron, au risque d’être ghettoïsé, doit regarder vers l’avenir en harmonie avec les communes voisines. En devenant, par exemple, un pôle de développement durable au sein de l’agglomération nantaise.
 Mes collègues, dans leur délégation respective, vont poursuivre cet état des lieux. Il nous a semblé important de porter à votre connaissance le travail réalisé depuis 2008. Chacun pourra ainsi se faire son opinion.
Nous allons continuer jusqu’à la fin de ce mandat notre travail de conseillers municipaux, en dénonçant les manquements et en proposant de nouvelles alternatives. Merci de nous faire part de vos idées et remarques : elles sont toujours les bienvenues et nous essaierons d’en être le relais.

A très bientôt
Dominique GAUTIER

mercredi 26 janvier 2011

Charte du citoyen sautronnais ...

Vous n’y avez peut-être pas prêté attention, mais la charte du citoyen sautronnais a été insérée dans le dernier bulletin municipal. Bien sûr, il est toujours utile de rappeler certaines règles, d’autant plus lorsque l’on constate certaines digressions.
Mais un certain nombre de retours nous sont parvenus. Manifestement, la formule « je dois / je ne dois pas » a interpelé certains citoyens qui, passé un certain âge, s’interrogent toujours sur la façon dont ils sont considérés.
Pour le moins, il semble que le côté « infantilisant » de la formule, à défaut de relever d’une doctrine, ne milite pas en faveur de la responsabilisation de chacun.

Lien pour aller voir la  charte du citoyen sur le site de la commune ...

Solidarité sélective ?


Il en est de même quant au « soutien » de la municipalité aux associations. Parce que certains membres de notre association étaient également dans le comité d’organisation de l’Open Rohde, nous savons que la démission dudit comité trouve bien son origine dans le désengagement de l’équipe dirigeante municipale. Nous espérons, pour Sautron, qu’un rebond sera possible avec la nouvelle équipe, dans le cadre d’une réelle prise de conscience des politiques.

Nos impôts : Des choix assumés, pas partagés

Le rappel de ces chiffres et faits n’a pas vocation à alimenter une quelconque polémique, mais de mettre en évidence des choix politiques. Ces choix sont assumés par la municipalité. Nous ne les partageons pas forcément, notamment sur la façon dont les budgets associés ont été gérés.Car cela influe négativement sur la capacité de la commune à soutenir d’autres dossiers prioritaires : les demandes de logements sociaux, plus à même de remplir nos écoles d’enfants, mais aussi ce qui demeure en l’état depuis des mois en matière de réfection de l’existant. Même si Sautron ne s’est pas fait en un jour et que des projets sont en cours, il reste que la vie continue … dans les locaux mis à disposition des sautronnais.

Associations sautronnaises : le Point

Le 2 décembre 2010, Imaginons Sautron Ensemble organisait une réunion à laquelle étaient invités de nombreux responsables associatifs, pour échanger publiquement points de vue et expériences. Des représentants d’associations sportives, culturelles, caritatives et de loisirs ont répondu présents. Les débats ont été très riches, constructifs, sans tabou ni langue de bois. En toute simplicité. Vous résumer la teneur des débats en quelques lignes tiendrait du pari  impossible. La preuve ? Nous en avons rédigé une synthèse : elle fait 8 pages. Constats, points forts, axes d’améliorations, critiques, suggestions, de nombreux thèmes y ont été abordés :

Bonne année 2011

Chers sautronnaises et sautronnais,
 
Les membres de l’association « ISE - Imaginons Sautron Ensemble » vous présentent leurs meilleurs voeux pour 2011, de santé et d’allant, de lumière et de joie pour vous et vos proches, de dynamisme et réussite dans vos entreprises personnelles. Une année au cours de laquelle nous saurons être à votre écoute, être présents pour vous accompagner dans la recherche d’idées, de solutions ou de simple reconnaissance.

 
C’est dans le cadre de ce fil conducteur que nous vous invitons ainsi à prendre connaissance de nos nouveaux articles.

 
Nous restons naturellement à votre disposition pour échanger avec vous, quel que soit le thème d’actualité.


Le bureau